Pour Nedjma

Au fond de l’océan, il y avait une étoile
Qui regardait briller à travers les flots
Une étoile dans le ciel parsemé d’étincelles
Elles étaient toutes deux à des années lumière
L’une au firmament et l’autre au fond des mers
Pensant se refléter en cherchant leur image
Mais l’étoile des mers en regardant filer
Son reflet là-haut, dans la voûte céleste
Pierre précieuse, diamant solitaire,
Lui dit dans un murmure « il faut que tu restes »
Guide le voyageur, fais rêver le poète
Continue de briller, sans te consumer
Continue de briller, sans chercher à brûler
Ceux qui t’approcheraient
Ceux qui te toucheraient…
Sans toi ce ciel est vide
Sans toi ce ciel est mort
Mais ton nom que l’on cite
Etoile de ce site
Est fait pour exister,
Il est fait pour durer…

Oum_Zaki

Hier, Nedjma était d'une déception inouie!!! j'avais dit que c'était un malentendu pas plus .Qu'en penses notre étoile dorlotée?Notre poetesse a usé de tout son talent,et de quelle manière !!!!pour dissiper cette confusion et tant mieux aussi . Bravo Oum-zaki et merci .

Merci Oum-zaki!

Mes forces me trahissent
Et mes larmes coulent à flots
Il faut que je te dise
Oh combien c'est si beau!
De te lire Marquise
Oubliant mon chagrin et l'ampleur de mes maux
Ma plume est si fragile devant ce jet de mots
Otant toutes les épines les unes après les autres
De mon coeur fébrile, meurtri au fil des ans
Si dans la mémoire du passé
L'étoile à pu brûler
Quelques âmes sans le vouloir
C'est par le pouvoir des mots
Qui implorent le pardon
Qui traversent les cieux et défient le temps
Ce reflet survivra au passage des nuages
il résistera même au gré des orages
Sa force ,il l'a puise dans la bonté de nos coeurs Qui illuminera à jamais notre univers

quelles réplique!!!!de haute facture!!!!en lisant ce poème j'ai les larmes aux yeux ,non charginée,plutot contente car on est revenu aux bons sentiments et c'est de bon augure.Que dieu fasse que vous soyez des amies tant que vous vivrez Merci étoile et Merci poétesse

pour vous chère NEDJMA Etoile, ou t'en vas-tu dans cette nuit immense?
cherches-tu sur la rive un lit dans les roseaux?
ou t'en-vas tu si belle , a l'heure du silence,
tomber comme une perle au sein profond des eaux.

ALFRED DE MUSSET

l'Adieu

Depuis quartes nuits et deux jours
j'attendais l'éclat de mes tours,
le chant des hyrondelles glissant dans le souffle du vent,
les traces d'un pied emportées par le sable mouvant

Un espoir plus vague, plus lumineux que l’espace
un esprit plus pur ,plus fidèle que les promesses
un soleil timide de ses rayons rouges en flamme
envahit la terre déserte de ma prisonnière âme

le soleil à mes pieds jette ses voiles,
son charme m'éblouie m'emporte sur les étoiles
des que je me prêtais à l'avoir
il se dissipa derrière une colline noire

il me parla avec un ton étrange
on dirait la voix d'un malheureux ange;
j'ai élevé mes regards vers cet inconnu,
je lui ai demandé ,pourquoi suis-je son élue?

Moi,coeur affaiblit, n'arrivant plus a se jouir
j'ai perdu toute espérance, même la force pour sourire
montez donc ,dévoilez vous,prenez mon âme !
tristes,mes yeux, n'arrivent plus a se dévoiler des larmes

O soleil ! aide-moi à casser mes chaines
à oublier tous mes chagrins toutes mes peines
cette âme abattue s'élance vers toi,
cherchant dans tes rayons une nouvelle foi

donne-moi l’élixir de l’Éternel bonheur
O céleste ami de la joie ,inonde ma paupière
viens donc me détacher de mes chaines
ose m'ouvrir les portes de ma prison suprême

je veux m'envoler loin de mon corps,
retrouver la lumière d'une autre aurore
laissant derrière moi mon ombre assombrit
quittant à jamais les lieux ou je n'ai pas joui

MON ÂME,EN SANGLOT FAIT SES ADIEUX
MON CORPS EN SILENCE QUITTE CES LIEUX

Des larmes pénibles
J’aime me perdre dans mes pensées
Libérer mon âme de toute contrainte
M'envoler avec des ailes d'une fée
Vers une harmonie plus sainte

Vidant mon coeur de toute peine
Alléger mon âme de tout remords,
Abaisser ma dignité hautaine.
Ma mémoire pleur à la mort:

La douceur des songes du soir
le souvenir de mon précieux trésor
Le parfum de mon jardin noir
L'ombre vive de mon faible corps

La nuit ou j'étais armée de bonheur
Ou les chagrins craignaient ma porte
Quand les larmes m'étaient étrangères
Lorsque mon âme était plus forte .

Mon coeur dort avec un sommeil éternel
Mon esprit sur les nuages lointains,
Chante les hymnes des anges immortels
Avec fierté s'incline et annonce sa fin

LE TEMPS PASSE ,LE SOUVENIR DEMEURE
JAMAIS LES PLEURS N'ONT SOULAGER MA Douleur]