Merci chère manouche pour la splendeur de ces vers, une fois encore tu nous prouves la grandeur de ton âme et la bonté de ton coeur.Faire la classe exige de nous non seulement la présence , la préparation des cours des devoirs etc...mais aussi d'être proche de nos élèves même celui du dernier banc.Tom poème m'a fait penser à un autre poème que j'aime beaucoup que j'aimerai partager avec mes collègues enseignants.
L'enfant du dernier banc
Comment vous nommez-vous demanda le maître, à l'enfant du dernier banc.
On m'appelle chenapan, répliqua l'enfant.
On aurait pu m'appeler va-nu-pieds, garnement ou galopin, mauvais génie ou bon à rien.
J'ai toujours été différent et c'est bien là mon désespoir.
Je suis comme le mouton noir, parmi les moutons blancs.
Voulez-vous changer de nom? demanda le maître.
Non, murmura l'enfant, seulement changer de banc.
Jacques Viesvil