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 Mon enfant travaille trop ! Comment réagir comme parent ?

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MessageSujet: Mon enfant travaille trop ! Comment réagir comme parent ?   Mon enfant travaille trop ! Comment réagir comme parent ? Icon_minitimeSam 21 Jan - 1:07


Mon enfant travaille trop ! Comment réagir comme parent ?

Depuis le début de l'année scolaire, votre enfant se plaint. Il a trop de travail, il est surchargé, chaque professeur lui donne autant de choses à faire que s'il était son unique enseignant , il n'éteint plus avant minuit... Est-ce normal ? Comment l'aider, et le rassurer ? Quelques conseils essentiels pour lui... et pour vous.

CE N'EST PAS UNE SITUATION NORMALE

Cela peut sembler inutile à rappeler, mais aucun élève de lycée ne devrait avoir à consacrer tout son temps libre à son travail scolaire. Aucune école, aucune pédagogie, sauf exception farfelue et imbécile, ne peut imposer cela...car tout élève qui serait à saturation de sa capacité de travail au lycée, verrait ses probabilités de réussite ultérieure réduites à néant, tant la quantité de travail à accomplir ensuite est hors de proportion. Un bon élève, donc, ce n'est pas un élève qui travaille tout le temps..c'est, au contraire, un élève qui réussit tout en ayant de larges moments de liberté, qui sont autant de réserves de temps pour plus tard.

Cela dit, il arrive très souvent qu'un élève traverse, à un moment de sa scolarité, une crise d'adaptation à des changements dans les attentes du système éducatif vis-à-vis de lui. Ainsi, vient avec le lycée, un moment où l'on exige des élèves, non plus seulement une attention pendant les cours, ni l'assimilation des enseignements, mais un vrai travail complémentaire, personnel, "en dehors des clous" du cours du prof. Ce travail nouveau, on le comprend, doit aussi s'apprendre, de sorte qu'on y passe beaucoup plus de temps au départ, qu'ensuite.

La surcharge de travail doit donc être un moment nécessaire, mais un moment seulement, dans la maturation d'un élève. Cela peut prendre quelques mois, voire deux trimestres ; mais jamais plus de l'année - qui pourrait tenir une année comme cela ?

IL Y A DES SOLUTIONS

Quand on s'est convaincu que le rythme d'un P.D.G. n'était pas une situation normale pour un élève de quinze ans, les choses prennent une tournure différente. Il faut alors faire comprendre à votre enfant que puisqu'il peut réduire son temps de travail, il doit arriver à le faire. Les astuces sont hélas différentes d'un individu à un autre, et chacun doit chercher sa voie, mais il y a quand même quelques "trucs" utiles.

anticiper, cela veut dire : ne pas perdre de vue l'horizon de temps dont on dispose, et les échéances qui nous menacent. Ainsi, s'il y a des périodes plus calmes,

on en profitera pour prendre de l'avance sur les inévitables contrôles qui reviendront comme les publicités au cours des émissions de télévision. Abaisser sa surcharge de travail, c'est d'abord mieux la répartir dans le temps.

Hiérarchiser ses priorités C'est là un conseil dangereux, car il peut mener à des négligences graves. Mais il ne faut pas hésiter à privilégier tel travail plutôt que tel autre. Chaque tâche à accomplir doit s'accompagner, mentalement, d'un niveau de priorité, d'une échéance, et d'une durée à s'y consacrer. On est beaucoup plus efficace à réviser deux heures, quand on s'est fixé de réviser exactement deux heures.

On ne mélange pas son travail et sa vie privée Ce conseil est valable aussi pour les enfants. Bien souvent, quand on regarde ce qu'ils font de leurs heures de révision, on constate qu'elles sont hachées par des pauses, par des rêves éveillés, par des pertes d'attention. On a bien révisé tout son samedi après-midi, mais on fait tellement d'autres choses aussi. Cette solution est absurde, car le travail fourni est insuffisant, et la détente, bien amère. Mieux vaut en faire moins, mais de manière exclusive et concentrée.





Depuis le début de l'année scolaire, votre enfant se plaint. Il a trop de travail, il est surchargé, chaque professeur lui donne autant de choses à faire que s'il était son unique enseignant , il n'éteint plus avant minuit... Est-ce normal ? Comment l'aider, et le rassurer ? Quelques conseils essentiels pour lui... et pour vous.

CE N'EST PAS UNE SITUATION NORMALE

Cela peut sembler inutile à rappeler, mais aucun élève de lycée ne devrait avoir à consacrer tout son temps libre à son travail scolaire. Aucune école, aucune pédagogie, sauf exception farfelue et imbécile, ne peut imposer cela...car tout élève qui serait à saturation de sa capacité de travail au lycée, verrait ses probabilités de réussite ultérieure réduites à néant, tant la quantité de travail à accomplir ensuite est hors de proportion. Un bon élève, donc, ce n'est pas un élève qui travaille tout le temps..c'est, au contraire, un élève qui réussit tout en ayant de larges moments de liberté, qui sont autant de réserves de temps pour plus tard.

Cela dit, il arrive très souvent qu'un élève traverse, à un moment de sa scolarité, une crise d'adaptation à des changements dans les attentes du système éducatif vis-à-vis de lui. Ainsi, vient avec le lycée, un moment où l'on exige des élèves, non plus seulement une attention pendant les cours, ni l'assimilation des enseignements, mais un vrai travail complémentaire, personnel, "en dehors des clous" du cours du prof. Ce travail nouveau, on le comprend, doit aussi s'apprendre, de sorte qu'on y passe beaucoup plus de temps au départ, qu'ensuite.

La surcharge de travail doit donc être un moment nécessaire, mais un moment seulement, dans la maturation d'un élève. Cela peut prendre quelques mois, voire deux trimestres ; mais jamais plus de l'année - qui pourrait tenir une année comme cela ?

IL Y A DES SOLUTIONS

Quand on s'est convaincu que le rythme d'un P.D.G. n'était pas une situation normale pour un élève de quinze ans, les choses prennent une tournure différente. Il faut alors faire comprendre à votre enfant que puisqu'il peut réduire son temps de travail, il doit arriver à le faire. Les astuces sont hélas différentes d'un individu à un autre, et chacun doit chercher sa voie, mais il y a quand même quelques "trucs" utiles.

anticiper, cela veut dire : ne pas perdre de vue l'horizon de temps dont on dispose, et les échéances qui nous menacent. Ainsi, s'il y a des périodes plus calmes,

on en profitera pour prendre de l'avance sur les inévitables contrôles qui reviendront comme les publicités au cours des émissions de télévision. Abaisser sa surcharge de travail, c'est d'abord mieux la répartir dans le temps.

Hiérarchiser ses priorités C'est là un conseil dangereux, car il peut mener à des négligences graves. Mais il ne faut pas hésiter à privilégier tel travail plutôt que tel autre. Chaque tâche à accomplir doit s'accompagner, mentalement, d'un niveau de priorité, d'une échéance, et d'une durée à s'y consacrer. On est beaucoup plus efficace à réviser deux heures, quand on s'est fixé de réviser exactement deux heures.

On ne mélange pas son travail et sa vie privée Ce conseil est valable aussi pour les enfants. Bien souvent, quand on regarde ce qu'ils font de leurs heures de révision, on constate qu'elles sont hachées par des pauses, par des rêves éveillés, par des pertes d'attention. On a bien révisé tout son samedi après-midi, mais on fait tellement d'autres choses aussi. Cette solution est absurde, car le travail fourni est insuffisant, et la détente, bien amère. Mieux vaut en faire moins, mais de manière exclusive et concentrée.
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MessageSujet: l'enfant et le jeu   Mon enfant travaille trop ! Comment réagir comme parent ? Icon_minitimeSam 21 Jan - 11:18

Bonjour Kamel! Voici un prolongement de ton exposé. Ce texte est sur un livre destiné à la formation des enseignants(FAD-MEF /3) mais que j'ai pu trouvé sur LE NET; ça EXPLIQUE BEAUCOUP DE CHOSES.
Jouer, c’est tout à fait sérieux
Par Sophie Gueral
Jouer pour l’enfant, ce n’est pas comme pour nous un repos : c’est un moyen d’apprendre. Connaître son corps et ses limites, comprendre la conduite des adultes, expérimenter les règles de la vie en groupe, créer des mondes imaginaires, le jeu sert à tout cela. Choisir un jouet pour un enfant, c’est choisir un outil important dans son apprentissage de la vie.
« Il ne pense qu’à jouer »! Voilà un reproche que l’on trouve souvent parmi les griefs des parents mécontents de leur enfant. Et un reproche amer, chargé de tout un lot d’anciennes rancunes. « Il ne pense qu’à jouer. » Traduisez : il ne s’intéresse à rien, il est paresseux, il est inaccessible à tout ce qu’on peut lui dire, il se renferme dans son propre monde, bref il utilise son temps de la plus mauvaise manière possible.
Et si cette façon de voir n’était qu’une gigantesque erreur? Pour les adultes, le jeu c’est le loisir, et le loisir c’est ce à quoi on a droit après sa journée de travail. Mais pour l’enfant qui ne peut pas avoir de travail productif, le jeu n’est pas un repos, mais l’essentiel de la vie, le moyen de tout imiter, de tout apprendre, de tout expérimenter : une affaire vraiment sérieuse.
Aussi important qu’un travail
« Vite à table », dit la mère de famille. Et si le père a une lettre à finir avant d’arriver, on respecte son travail; mais si l’enfant veut ajouter le dernier cube à sa tour géante, on dit qu’il traîne et on le gronde; ajouter un cube, pourtant, est parfois important pour donner l’impression de l’œuvre accomplie, pour expérimenter un savant équilibre. Je ne veux pas dire qu’il faut laisser l’enfant libre indéfiniment de ne pas obéir, mais simplement qu’on se tromperait en traitant ce qu’il fait avec mépris ou même avec dédain.
C’est en jouant que l’enfant se découvre lui-même en découvrant le monde et la vie. Bien plus inquiétant que l’enfant qui travaille mal, l’enfant qui ne sait pas jouer retient toute l’attention des psychologues. Et le premier jeu auquel il se donne vraiment à fond est souvent le plus sérieux indice de la guérison d’un enfant gravement perturbé.
Voici un bébé très occupé avec ses pieds. Nous disons « il joue ». Nous devrions dire « il travaille ». Il travaille à comprendre à qui appartient cet objet, à évaluer les distances, à exerce son toucher, à définir la forme qu’il voit et qu’il palpe en même temps. Toutes opérations très compliquées pour son cerveau. C’est pourquoi il recommence sans fin.
J’ai vu un psychologue donner à un bébé de huit mois un objet en bois contourné avec des trous comme une sculpture moderne. Le bébé suit le contour, glisse son doigt dans l’ouverture, le ressort, cherche à comprendre, tourne et retourne l’objet, et son expression concentrée dit assez à quel travail intensif il se livre. Tous les premiers jeux, avec les mains, avec les pieds, les marionnettes, coucou, puis plus tard grimper ou faire une galipette, sont ainsi des exercices grâce auxquels l’enfant arrive à se représenter son propre corps, et ses limites. Jeux sérieux s’il en est, si le sérieux c’est ce qui est important, et qui vont beaucoup plus loin qu’on ne le croit.
Une des plus belles observations de Freud montre un enfant jouant avec une bobine de fil, la lançant au loin, puis la ramenant. Loin d’être un pur exercice d’adresse ce jeu éveillait chez l’enfant toute une gamme de sentiments divers et contradictoires, tristesse quand la bobine disparaissait, joie quant il l’attirait à nouveau vers lui. La bobine de fil était alors bien plus qu’un simple objet; pour l’enfant elle avait la valeur d’un symbole, d’un moyen d’exploration. Que lui apprenait le jeu? Qu’une séparation était en général suivie de retrouvailles, et qu’on pouvait penser à quelque chose ou à quelqu’un, l’évoquer, même pendant son absence. Ainsi, quand maman s’en va, on peut ne pas éprouver d’angoisse, car elle reviendra, comme la bobine brillante. Grâce au jeu, le petit bébé entièrement soumis au présent devenait ainsi progressivement un enfant capable d’envisager le futur dans toutes ses éventualités.
Le petit chien joue, lui aussi, pour apprendre, et comme l’enfant il complique peu à peu son jeu par des accessoires : une balle, un bâton, un chiffon qu’on cache. Mais, là s’arrête la ressemblance, et le petit d’homme va beaucoup plus loin. Vers 6 ans, il a inventé trois nouvelles sortes de jeu… il joue à la marchande, ou à la maman, bref il imite les adultes pour prendre leur mesure. Il expérimente la vie en société, par des jeux de groupe aux règles compliquées comme les barres, le ballon prisonnier ou le Monopoly. Il imagine enfin, il dépasse la réalité dans de folles inventions où s’exerce son besoin de créer.
Le jeu finalement, c’est une façon d’apprendre la vie, mais aussi d’explorer, seul ou avec les autres, tous les mondes possibles – et impossibles.



désolé on ne m'a pas permis de vous donner le lien,
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